mardi 30 décembre 2014

Monster&Cie

Une entrée terrible :

Bouh ! (je vous ai fait peur hein ?) Comme le thème de ce journal est LES MONSTRES, je vous ai concocté une chronique Monstrueusement géniale (comme à mon habitude, bien entendu !). Celle-ci portera sur les (roulements de tambours)… Cauchemars ! (Inou étant passée en section S (tu es du bon côté de la Force, jeune apprentie ! signé D2M), autant vous dire que ça travaille dur sous le brushing pour expliquer un peu comment nos peur les plus profondes prennent soudain vie…)
J’ai donc sélectionné spécialement pour vous trois types de cauchemars que je vais décrire et tenter d’expliquer. Tenez-vous prêt pour un voyage au cœur de l’épouvante (mouahahahaha !).

Les cauchemars de la nuit (Nightmaaaaaaaare !!!):

Ce sont les plus effroyables quand nous sommes enfants, ceux qui nous rappellent que nous ne sommes pas encore adultes quand nous sommes adolescent et enfin ceux qui nous font savoir qu’on a mangé trop de Nutella lorsqu’on est adultes (Si les parents ne sont pas la pour nous l’interdire, qu’est ce qui nous retient de manger le pot entier ?). Bref, quel que soit l’âge que l’on ait, il y a toujours moyen de se réveiller en sueur d’un affreux rêve où l’on est exposé à un danger plus ou moins improbable, comme se faire courser par une meute de livres enragés, ou encore tomber en boucle du même avion depuis 10 000 m d’altitude (dans ce cas, pincez-vous, si vous êtes réveillé c’est que vous avez inventé une machine à remonter le temps !).
Mais alors, pourquoi faisons-nous des cauchemars ? Et bien, les cauchemars sont souvent dus au stress que l’on endure et que l’on a enduré pendant la journée. En effet, si l’on regarde certaines parties du cerveau on peut… (Zzzzzzz... Hem, oups pardon). Non, sérieusement, les cauchemars peuvent être dus à plusieurs choses, tout dépend de la personne. Souvent, nos rêves sont inspirés par ce que l’on a fait (ou subi) dans la journée, donc par exemple en cas de tragique brûlure due à un marshmallow fondu que vous auriez laissé tomber sur votre main, ne vous étonnez pas si dans vos cauchemars une de ces perfides sucreries vient vous rendre visite pour vous dévorer (dites-vous qu’il s’agit d’une vengeance, vous savez ce qu’il ressent maintenant !).
Le conseil d’Inou : Lorsque vous voyez le méchant de Massacre à la tronçonneuse vous courir après, essayez de vous souvenir que vous êtes dans un rêve et que vous faites ce que vous voulez (une fois je l’ai battu au bras de fer et après on est devenu copains !).

Les cauchemars réels (Now your nightmares come to life !):

Je ne parle pas de se retrouver tout nu dans la rue (si c’est le cas pour vous alors vous rêvez. Si vous n’êtes pas entrain de dormir... Rentrez chez vous très vite !).
Ce que j’appelle les cauchemars réels sont ceux que l’on vit tous les jours, comme par exemple rentrer chez soit fatigué et devoir ranger sa chambre (dans ce cas, le pire cauchemar se nomme Maman !), se lever tous les jours à 6h30, avoir une interrogation! Mais également arriver en retard à cause du retard du bus et plaider sa cause en vain auprès du prof, en lui racontant qu’il s’apprête peut-être, en vous mettant à la porte, à mettre en échec scolaire celui/celle qui serait devenu(e) le(la) plus grand(e) artiste que le Monde ait jamais connu, celui/celle qui aurait trouvé le sens de la vie et de l’univers en général ! Ce à quoi le fourbe professeur, citant les vies de Kurt Cobain et de Van Gogh, rétorque que ce sont souvent ceux qui sont en marge de la société qui font les meilleurs artistes !   (tous ceci est inspiré de faits réels…).
Mais les pires des cauchemars réels (Non, je ne parle pas des professeurs) sont les frères et sœurs. De vrais Gremlins suceurs de sang ! Il faut les nourrir toutes les heures où le carnage commencera ! Si vous possédez ce genre de sales bêtes à la maison... Fuyez !

Les cauchemards semi-réels :

Ah... Ce sont bien les pires ! Ce sont ceux dans lesquels on croit rêver mais où l’on ne rêve pas du tout. Pour vous expliquez cela, mettons-nous en situation. Nous sommes un mardi tout à fait normal avec trois contrôles d'affilée (Oui, j’ai bien dit un mardi normal), Il est précisément 13h30 et nous sommes en réunion du club journal quand soudain ! (lancement de la musique angoissante) Une rédactrice en chef sauvage apparaît ! (POKEMON ! Ce sont des monstres eux aussi ! (la rédac’ chef aussi, si vous ne me croyez pas, venez constater par vous-même au club journal ! Signé D2M)… Et  nous rappelle que l’on a TROIS (oui trois !) articles à rendre pour Vendredi. Nous rions aux éclats et commençons à lancer sournoisement quelques blagues à ceux qui n’ont pas encore terminé leurs articles quand tout à coup ! (re-musique angoissante) nous nous rappelons que nous n’avons pas commencé à écrire un seul mot ! Et là, c’est le drame : Croyant que nous rêvons, nous fermons les yeux très fort et les rouvrons pour nous réveiller (méthode de mon invention pour se réveiller d’un mauvais rêve). On réessaye plusieurs fois mais rien à faire, nous sommes bien dans la réalité. Malheureusement ça n’est que le début du cauchemar. Le vrai cauchemar est qu’il est actuellement 00h37 et que je viens de terminer le troisième paragraphe d’Inou Chez Les Fous. (Demain, contrôle ! Ma vie n’est qu’un long cauchemar !)

PS : Ne refaites pas ça chez vous, cela peut nuire à votre santé physique et mentale (Inou n’a plus toute sa tête à Minuit)
PPS : Ceux qui ont trouvé la référence à une musique très appréciée du correcteur ont gagné une poignée de main de l’intéressé à venir chercher à son domicile !

Sur ce, bonne nuit… Cauchemardesque ! (mouahahahaha)

ICLF

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